10 Novembre 1938... Les deux dernières heures de la vie d’Ataturk... Le pays est en deuil, mais une personne plus que toutes les autres, Salih Bozok... Dans ce film il est raconté, par l’ami d’enfance d’Ataturk, Salih BOZOK, leurs moments les plus marqués de leur vie et son sentiment d’amitié le plus profond. Ses sentiments sont si profonds que Salih Bozok refuse une vie sans son meilleur ami... Sans même penser à sa famille et à sa vie, il met fin à sa vie au même moment qu’Ataturk. Ce film fait un retour en arrière par le biais de la lettre écrite par Salih Bozok à son fils, Muzaffer. Il est raconté l’identité militaire d’Ataturk, ses dévouements et des moments précis de sa vie privée. Cette lettre, L’ADIEU, décrit la guerre de la libération, la mise en place de la République et l’espoir qu’il porte sur sa patrie. L’empire Ottoman est sous l’occupation, Mustafa Kemal défend sa patrie de tous les côtes : Traplusgarp, Canakkale. Même qu’à Canakkale il se met en première front et tire, tous les soldats à ses côtés meurent un par un, Mustafa Kemal trébuche mais grâce à la montre située au niveau de sa poitrine sa vie est sauvée. En fait cette montre a sauvé le Général de l’armée turque, elle a sauvé le peuple turc. Afin de mettre fin à cette situation de plus en plus dégradante, Mustafa Kemal commence par la ville de Samsun. 5 jours après son arrivée à Erzurum, il est dans l’obligation de démissioner de son poste de soldat, poste qu’il aime. A partir de cet instant, il devient une personne du peuple à part entière, personne ne peut le décourager de cette décision parce que le peuple est très attaché à cet homme. Lors de sa venue à Erzurum, Kazim Karabekir lui montre sa fidélité en lui prononçant la phrase suivante : “je suis à vos ordres mon Pacha”. Mustafa Kemal savait qu’aucune force n’aurait la puissance de l’arrêter. En dernier il est ramené à la tête de l’armée de Dumlupinar en tant que Général. Le matin très tôt il lance une grande attaque militaire et l’armée turque entre jusqu’à Izmir. Le dernier jour de la guerre, il se retrouve face à Latife. Il projette un nouveau modèle de pays à travers elle. Il devait faire un choix entre deux femmes et son temoin le plus proche fût Salih Bozok. Avant de mourir Zubeyde a dit a Salih que Latife n’aimait pas Mustafa Kemal mais Ataturk, elle lui a demandé de lui dire mais Salih Bozok n’a jamais pu le dire. Fikriye l’aimait tellement que lorsqu’elle a appris son futur mariage, elle a mis fin à sa vie. Fikriye l’avait aimé en tant que Monsieur Mustafa Kemal. Dans la lettre d’ADIEU écrite par Salih Bozok à son fils, nous pouvons voir la posture d’Ataturk face aux difficultés, sa position de meneur, son intelligence, son révolutionnisme. Après la mort d’Ataturk, son ami d’enfance a tenté de se tuer en se tirant une balle dans son coeur. Les lignes écrites à son fils dans sa lettre d’ADIEU nous montrent les côtés non–connus d”un grand leader qui a marqué tout un siècle...