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ALIEN VS PREDATOR (2004) - Cinemaniacs.be
Une histoire incroyable et terrifiante commence lorsque le millionnaire et industriel Charles Bishop Weyland rassemble une équipe internationale d'archéologues, scientifiques et experts en sécurité. Avec en tête, l'aventurière et écologiste Alexa "Lex" Wood, tout le groupe part en Antarctique pour analyser une mystérieuse hausse de température. En dessous de la glace, à 600 mètres de profondeur, ils font une découverte aussi fascinante qu'angoissante : ils découvre une pyramide aux influences aztèque, égyptiennes et cambodgiennes dans laquelle des Predators ont gardé une reine Alien en vie. Celle-ci pond des oeufs tous les 100 ans. Pour leur rite de passage, les jeunes prédators se mesurent aux Aliens. L'équipe d'expert se retrouve en pleine guerre entre Predators et Aliens. Les monstres des deux films s'affrontent dans une lutte sans merci et ont choisi notre Planète pour champ de bataille. Quel que soit le gagnant, nous sommes perdants !
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Après Freddy vs Jason, voici Alien vs Predator. Les studios américains sont-ils à court d'imagination ou ont-ils voulu satisfaire les fans par un ultime opus ? Aucun des deux, Alien vs Predator possède sa propre histoire bâtie au travers des univers d'Alien et de Predator. Les deux mondes s'entremêlent parfaitement et forment un mélange soigné à voir absolument par tous les amateurs de science-fiction.
Ici, pas de créatures farfelues, mais bien ces monstres que tout le monde connaît, que personne n'aimerait croiser et qui à force de se montrer sur petits et grands écrans, auraient presque leur place dans les manuels de biologie. Monstres qui soit dit en passant, apparaissent généreusement à l'image. La mystérieuse pyramide est un champ de bataille idéal et complexe qui complète à merveille l'ambiance du film.
Mais si l'univers parvient encore à nous surprendre, les personnages ne sortent malheureusement pas du scénario habituel. On s'y attache un peu, vu qu'on prend le temps de nous les présenter, mais ils n'ont aucune autre utilité que de servir de bouillie aux méchantes bébêtes. Paul Anderson choisit une manière simple pour terminer l'histoire et le duel que l'on pourrait attendre ne se produit que dans les flash-back d'un passé lointain...
Tant pis... On se contentera de ce que l'on veut bien nous montrer même si l'on en veut toujours plus. Un excellent moment de science-fiction quand même : merci mr. Anderson pour cette nouvelle réalisation. Vous êtes vraiment un maître du genre !
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